L’errance animale, au-delà des pertes économiques qu’elle implique, s’avère un enjeu de santé publique : risques sanitaires (morsures, zoonoses), accidents de voie publique, etc. La question du bien-être animal n’est pas en reste, dès lors que l’individu errant est en mauvais état physiologique, voire est victime de maltraitance. Le vétérinaire, de par son rôle de “médecin des animaux”, peut, malgré lui, se retrouver à devoir assumer systématiquement cette gestion, qui n’est pas de son ressort.
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